1897 : 15 octobre : Ouverture du théâtre Russell, conçu par J.B. McElfatrick et Fils, situé à l’angle des rues Elgin et Queen. De style renaissance italienne, l’édifice contenait 1500 sièges répartis entre le parterre, 2 galeries semi-circulaires et 10 loges ; séparée de la salle par un immense rideau, la scène était formée d’au-delà de 50 panneaux mobiles et était en plus dotée d’un système d’éclairage avec jeux de couleurs considéré audacieux pour l’époque.
1901 : 7 avril : Détruit par un incendie, il est aussitôt reconstruit sous le nom de New Russell Opéra House, d’après les plans originaux par l’architecte J.M. Wood de Detroit.
1901 : 5 octobre : Inauguration de la nouvelle salle, Le New Russell Opéra House
1928 : 14 avril : Le théâtre ferme ses portes
1928 : Août : Le bâtiment est démoli par la Commission du District fédéral pour l’aménagement d’un parc ; le square de la Confédération.
Seconde moitié du XIIème siècle : Classé monument historique.
Ce cloître est le dernier vestige de l'ancienne église de Saint-Jean, très certainement créé par l'ordre des Templiers.
Sous la révolution : Cette dernière devient salle de réunion publique sous la révolution, puis prison, théâtre.
1901 :
De l'incendie, il ne reste qu'un superbe portail du XIIIème et une vasque qui pourrait être un bénitier de l'ancienne église.
1845 à 1847 : Construction par l’architecte Lambert
1901 : 21 janvier : Violent incendie
1902 à 1903 : Reconstruction dans le style de l' Opéra de Paris
1994 : Classé Monument Historique
1997 : le théâtre a été restauré
1847 : Le théâtre est inauguré
1901 : Incendie
Reconstruit à l’identique achevé en 1904.
1880 : 26 Décembre : Inauguré par l'impresario du même nom, il était situé sur la Piazza del Carmine, au coin de Via Pacini. Il avait quatre rangées de loges et un ‘stade’ avec suffisamment d'espace pour tous les types de divertissement, y compris du cirque.
En 1881, il abritait la famille royale en 1889 Sarah Bernhardt.
1901 : Il a été détruit par un incendie et ne fut jamais reconstruit.
Voir : 1892 et 1901 - France - Troyes - Cirque de Troyes (Le théâtre de Champagne)
Cet édifice est inscrit au titre des monuments historiques de la France. Il est répertorié dans la base Mérimée, base de données sur le patrimoine architectural français du ministère de la Culture, sous la référence PA00078252 .
Opéra (Théâtre A. Alloula)
1584 : Construction par Georg Beer et consacrée aux festivités de cour
1750 : Transformé en opéra par Leopoldo Retti, et inauguré (Artaserse de C.H. Graun)
1752 et 1757 : Agrandi et rénové
1758 : Reconstruit par Philippe de La Guêpière.
1811 : Reconstruction extérieure par Nikolaus Friedrich von Thouret
1845 – 1846 : Reconstruit
1846 : Réouverture
1902 : janvier : Détruit par un incendie
1902 : février : Incendie de la salle de spectacle
1903 à 1905 : Le théâtre est construit par les architectes Charles Duval et Camille Robida, le long du Grand Morin, à la place d’une tannerie. L’édifice porte la date de 1904. Il conserve de cette époque l’ensemble de ses dispositifs scéniques, une machinerie exceptionnelle et rare.
2007 : Le théâtre est restauré et les couleurs sont identiques à celles de 1903. C’est un théâtre à l’italienne.
Construit à la fin du XVIIIème siècle
1848 : Il sert aussi de lieu de réunion, pendant la période politiquement agitée qui suit l’abolition de l’esclavage.
1901 : Lourdement déficitaire, le théâtre est fermé. Un an avant l’éruption
1902 : Jeudi 8 mai : Au petit matin, l’éruption de la montagne Pelée, allait raser la ville de St Pierre en Martinique, tous les monuments sont détruits y compris son théâtre Il en reste aujourd’hui, un magnifique escalier, et les vestiges des loges du parterre et de la scène.
602 victimes - 250 blessés
Le syndicat qui a financé sa construction a choisi l'emplacement spécifiquement pour attirer les femmes en excursion d'une journée de l'extérieur de la ville qui, pensait-on, seraient plus à l'aise pour assister à un théâtre près du quartier commerçant de Loop patrouillé par la police.
1903 : 23 novembre : Le théâtre a ouvert, après de nombreux retards dus à des troubles sociaux et, selon un écrivain, l'incapacité inexpliquée de l'architecte Benjamin Marsha pour terminer les dessins requis à temps.
1903 : 30 Décembre : Incendie
Extrait de l’article du Petit Parisien – Dimanche 17 janvier 1904 : « Une sorte de fatalité incendiaire semble peser sur la ville de Chicago. Le magnifique Théâtre Iroquois, qui avait été récemment construit sur les plans de l’Opéra-Comique de Paris, a été détruit par un incendie au cours d’une représentation, dans l’après-midi du mercredi 30 décembre. On jouait Barbe Bleu, et il se trouvait dans la salle beaucoup d’enfants et de femmes. Le cri de :’Au feu’ retentit tout à coup et les acteurs et actrices se mirent à courir éperdument à travers la scène, tandis que dans la salle se produisait une panique effroyable. La foule s’écrasa à toutes les issues. En peu de temps, tout l’intérieur du théâtre fut en flamme, et d’épais nuages de fumée s’élevèrent au-dessus de l’édifice incendié. Les pompiers accourus sauvèrent un grand nombre de spectateurs qu’ils recueillirent dans les galeries, où ils étaient à l’aide d’échelles de sauvetage. Beaucoup de gens, étaient évanouis, d’autres asphyxiés, la plupart piétinés et écrasés… La panique paraît, en somme, avoir beaucoup plus de victimes que le feu lui-même. Il semble certain, maintenant, que la cause de cet épouvantable malheur est une étincelle électrique qui mit le feu aux décors.
1904 : Après l'incendie, le théâtre Iroquois a été renommé et rouvert en tant que théâtre colonial.
1925 : Le théâtre a été démoli pour faire place à la Théâtre oriental.
1926 : Le théâtre oriental a été construit sur le site comme l'un des nombreux palais de cinéma ornés construits à Chicago dans les années 1920 par la société Rapp and Rapp
1971 : Le théâtre à fermé, son hall a été réaménagé en magasin de télévision et de radio, tandis que le théâtre est resté vacant pendant plus d'une décennie.
1990 : (dans les annèes) : L'Oriental-Ford Center for the Arts a rouvert ses portes en tant que salle de théâtre
1996 : 10 janvier : La compagnie théâtrale canadienne Livent a annoncé qu'elle avait acquis la propriété et rénoverait la structure avec une date d'achèvement prévue en 1998.
1998 : 18 octobre : Le théâtre restauré a rouvert, avec une capacité reconfigurée de 2 253 places
2018 : 13 novembre : Broadway In Chicago a annoncé que le théâtre serait renommé en l'honneur de James M. Nederlander , fondateur de Broadway In Chicago, propriétaire et producteur de théâtre de Broadway et champion du Downtown Theatre District de Chicago, décédé en 2016.
2019 : 8 février : l'Oriental Theatre a été rebaptisé Nederlander Theatre .
Notes : Le directeur du théâtre Davis a été arrêté en janvier 1904 et accusé de négligence criminelle, mais acquitté.
Dans La ville de New York le soir du réveillon du Nouvel An, certains théâtres ont supprimé les places debout. Les codes du bâtiment et de prévention des incendies ont été réformés par la suite ; les théâtres ont été fermés pour rénovation dans tout le pays et dans certaines villes d'Europe. Toutes les sorties du théâtre devaient être clairement signalées et les portes configurées de manière à ce que, même si elles ne pouvaient pas être ouvertes de l'extérieur, elles puissent être poussées de l'intérieur.
L'Iroquois Theatre était situé au 24-28 West Randolph Street , entre State Street et Dearborn Street, à Chicago , Illinois
Le Théâtre Iroquois, peu avant l'incendie.
1788 : Construction du théâtre
1903 : Nuit du 5 au 6 avril : L’incendie
1907 : Concours lancé par la Municipalité pour la construction d’un nouvel édifice. Le règlement met alors l’accent sur la prévention de l’incendie et recommande notamment de porter attention à la largeur et à la commodité des dégagements et des escaliers à tous les étages. L’architecte lillois Louis-Marie Cordonnier est chargé de construire un Opéra
1914 : Fin du gros œuvre. Occupation Allemande
1923 : Première représentation Française
1998 : Fermeture et lancement des travaux de rénovation (mise en conformité)
2003 : Décembre : Réouverture après six ans de restauration Réalisé juste avant la Première Guerre Mondiale, il est inauguré par les Allemands en 1914 puis une seconde fois par les Français en 1923. Extrais du Pèlerin 19 avril 1903 : « Au début de la Semaine Sainte, les habitants de Lille ont eu sous les yeux un grave sujet de réflexions salutaires : le théâtre de la ville a été entièrement détruit par un incendie. Il était 1h ½ du matin lorsqu’on s ‘est aperçu que le feu venait d’éclater, peu de temps après la représentation du dimanche soir. À 2h¼, toute la toiture était en feu et le fléau menaçait de gagner les maisons voisines. Quatre pompes à vapeur parvenaient à peine à préserver ces immeubles et à diminuer l’intensité du brasier. On ne fut maître du feu que vers 6 heures du matin ; cependant, les pompes durent continuer, jusque dans l’après-midi, à arroser les décombres, où des foyers se rallumaient à chaque instant. … Jusqu’ici, on attribue la cause du désastre à un court-circuit qui se serait formé dans les conduits d’électricité. Quelques heures plus tôt, le feu surprenait, au cours de la représentation, les spectateurs et acteurs, peu préparés, peut-être, à paraître devant Dieu.
1834 : Ouverture du premier théâtre de Bâle, sous le nom Basler Stadttheater
1873 : les travaux sur un nouveau théâtre a commencé, qui a été conçu par Johann Jakob der Stehlin Jüngere
1875 : Ouverture du Théâtre. (Deuxième théâtre)
1904 : Vendredi 7 octobre (nuit du 6 au 7) : Incendie du théâtre
1909 : Ouverture du troisième théâtre
1975 : Inauguration du quatrième théâtre
1905 : Le théâtre est détruit par un incendie
1927 : Le député Georges Leygues offre de faire construire un théâtre si la municipalité trouve un emplacement ; le site choisi est celui de l’ancienne prison sur les boulevards. Georges Leygues fait appel à l’architecte d’origine villeneuvoise, Guillaume Tronchet, auteur des théâtres d’ Agen et d’ Amiens. G. Tronchet bâtit un théâtre en béton armé, de style Art Déco ; l’entreprise Charles Neveu est chargée des travaux, sous la surveillance de Gaston Rapin,architecte communal.
1935 : 28 septembre : Inauguration du théâtre, avec une pièce de Sacha Guitry.
Le Petit Journal illustré du 5 Mars 1905 « On jouait, ce soir-là, un drame patriotique, comportant une apothéose avec pétards, feux de Bengale et autres dangereux accessoires. Par suite de quelque imprudence, ce feu d’artifice s’enflamma avant la fin et communiqua l’incendie aux décors et aux loges des musiciens qui se trouvent sur la scène.
Les théâtres japonais n’étant pas munis de rideau de fer, le feu gagna la salle en moins de deux minutes, déterminant une épouvantable panique parmi les spectateurs. Les issues des salles de spectacles au Japon étant toujours très larges, le public eût pu peut-être se sauver.
Mais les portes étaient fermées. Suivant l’usage japonais, les spectateurs ne paient leur place qu’en sortant ; et les employés du théâtre, fidèles à leur consigne, refusaient d’ouvrir, prétendant se faire payer avant de laisser s’écouler la foule. Une lutte acharnée s’engagea entre ceux qui ne voulaient pas être brûlé et ceux qui réclamaient l’argent.
Le public finit par forcer les portes, mais dans la terrible bousculade qui s’était produite, une trentaine de personnes, des femmes et des enfants, pour la plupart, furent écrasées, étouffées, ou périrent asphyxiées.
Le régisseur, sa fille, sa domestique et deux acteurs sont morts dans l’incendie. L’ouvrier qui préparait le feu d’artifice a perdu les deux yeux. Quant au théâtre, il a été dévoré de fond en comble par les flammes. »
1906 : 25 janvier : Incendie
1906 : 18 avril
Pavillon de la Comédie : Construit à la demande de Stanislas Leszczynski près de la place Royale, sur les plans de André Joly, par Claude Mique et le décorateur Girardet.
1755 : Inauguration
1906 : la nuit du jeudi 4 au vendredi 5 octobre : le théâtre est totalement détruit par un incendie
1919 : 14 octobre : Le nouveau Théâtre est inauguré.
Dès 1906, le concours d’architecte est lancé. Les Nancéiens plébiscitent le projet Art Nouveau d’Emile André, mais c’est l’Alsacien Joseph Hornecker que le jury décide de couronner. Son théâtre à l’italienne, pastiche d’un Opéra du XVIIIème siècle, convient davantage aux standards académiques de l’époque.
Le nouveau Théâtre est inauguré le 14 octobre 1919 sous les applaudissements du public qui salua tant l’œuvre de l’architecte que la compagnie de l’Opéra qui donna, ce soir-là, une représentation de Sigurd’ de Reyer. La restauration
En 1994, sous la direction de Thierry Algrain – architecte des Monuments historiques – l’Opéra fait l’objet d’une grande restauration dont l’objectif est de recréer à l’identique la salle telle qu’elle était le jour de son inauguration il y a un peu plus de 80 ans
1767 : Le comte de Montrevel achète l’hôtel de Chesnard de Layé et lui ajoute deux ailes, dont l’une est destinée au théâtre
1771 – 1772 : Construction du théâtre
1772 : Mars : Inauguration (Le Misanthrope moderne)
1773 : 8 mars : La Ville devient propriétaire
1907 : Samedi 9 février : La salle de spectacle est détruite par incendie
1909 : La salle est reconstruite.
Dossier Club Cartophile
1907 ( ?) : Incendie
1910 : reconstruction du théâtre des Variétés après incendie (disparu), par Eugène CURVALE
174 victimes
Extrait du Petit Parisien – Dimanche 2 février 1908 : "Une représentation, donnée par des amateurs au profit d’une œuvre de bienfaisance, avait lieu. La salle, qui peut contenir environ quatre cents personnes, était archi bondée, lorsque subitement, les pellicules d’un cinématographe qu’on faisait fonctionner au cours des entr’actes prirent feu.Avant qu’on eut pu prendre les mesures nécessaires pour arrêter l’incendie, toute la salle flambait. Le public affolé, se précipita vers les issues, et au milieu de scènes effroyables, de bousculades où des femmes et des enfants furent écrasés avec une sauvagerie sans nom, le sinistre fit son œuvre de mort. Des spectateurs purent sauter par les fenêtres, se blessant grièvement, mais un grand nombre de malheureux restèrent dans les flammes. Avec un peu de calme, on eût éviter de désastre ; et le public aurait, dit-on, eu le temps de s’échapper s’il avait eu la sagesse de se retirer sans hâte et sans précipitation. Quand donc les foules comprendront-elles que en présence de pareils accidents, le sang-froid est ma meilleure et le plus sûre des sauvegardes" 150 victimes
Extrait : Le Pèlerin – 26 janvier 1908 : ‘Plus de 150 personnes ont péri dans un incendie qui a détruit le théâtre de la petite ville provinciale de Boyertown (Pensylvanie), et l’on compte plus de 200 blessés. … C’est pendant la représentation du cinématographe qu’un réservoir d’oxygène fit explosion, et les pellicules s’enflammèrent. L’appareil était au balcon, invisible pour la plupart des spectateurs, mais le cri de : « Au feu ! » semble avoir été poussé immédiatement, et tout le monde se précipita vers la porte. Tout se serait à peu près bien passé sans les personnes qui se trouvaient sur la scène et qui, dans leur zèle à vouloir assurer la sécurité de tous, sont responsables de la tragédie ; en se précipitant vers la rampe pour rassurer le public, l’un des acteurs renversa une lampe à pétrole ; le liquide s’écoula, prit feu, fit exploser les autres lampes, et bientôt les flammes s’élevèrent jusqu’au plafond. Dans leur fuite éperdue vers la sortie, hommes et femmes luttaient comme des furieux pour protéger leurs enfants, mais la sortie était trop étroite, et bientôt des cadavres la bouchèrent. En un quart d’heure, tout le bâtiment n’était plus qu’une énorme masse embrasée autour de laquelle toute la population de la petite ville s’était massée. Le spectacle était terrifiant. La seule pompe à incendie que possède la ville ne pouvait pas lutter contre le fléau ; d’autres pompesvinrent de Pottstown, à 20 kilomètres de là, mais il était trop tard, le feu avait tout consumé. Des familles entières ont été anéanties.’
La Régente Elisabeth-Charlotte fait construire dans le château de Lunéville une salle de spectacle
1766 : Transformation du Théâtre de Cour en Théâtre Public.
1908 : Dimanche 18 octobre : Détruit par un incendie
1796 : Début des travaux pour la construction du futur Théâtre National, , conçu par l’architecte italien Vicente Mazzoneschi.
1799 : 13 mai : Inauguration du Théâtre, le jour anniversaire du futur régent et roi, Jean VI de Portugal, qui donne son nom à ce théâtre, baptisé Real Teatro de São João.
1908 : Violent incendie détruit entièrement le théâtre
1911 : Un projet de reconstruction est élaboré sous la direction de l’architecte local José Marques da Silva.
1918 : Le nouveau théâtre est terminé
1920 : 7 mars : Inauguration avec la représentation d’Aida, de Verdi.
1932 : Le théâtre devient une salle de cinéma, le cinéma São João, exploitée par le groupe Lusomundo.
1992 : 8 octobre : Le théâtre est acheté par l’État portugais
1992 : 28 novembre : Le bâtiment retrouve sa fonction première de salle de théâtre, sous son nom actuel de Teatro Nacional São João.
1995 : Rénovation complète du théâtre (architecte : João Carreira)
1829-1831 : Construction du Théâtre par Carl Theodor Ottmer pour Bernhard II duc de Saxe-Meiningen-Hildburghausen.
1831 : 17 décembre : Ouverture avec Auber "Fra Diavolo." Par la suite le théâtre exploités par des sociétés privées.
Depuis 1866, dirigée par le duc George II de Saxe-Meiningen.
1908 : 5 Mars, le bâtiment du théâtre brûlait jusque dans ses fondations
1908-1909 : un nouveau "ducal Théâtre de la Cour" a été construit sur le site
1909 : Réouverture du Théâtre
CPA Meiningen Théâtre de la Cour dans les flammes (5 Mars 1908)
1856 : Inauguration. On doit le plan de la scène et de la fosse d’orchestre au compositeur Barbieri qui composa une symphonie sur des thèmes de zarzuela pour son inauguration
1909 : Un incendie ravage le théâtre
1913 : Reconstruction du théâtre
300 victimes
1909 : Février : Extraits de l’article du journal, Les Faits-Divers Illustrés du 25 février 1909 N° 175 : « Trois cents personnes brûlées. On donnait à Acapulco, port situé sur le littoral occidental du Mexique, une représentation de gala, au théâtre, en l’honneur de M. Damian Florés, gouverneur de l’État de Guerrero. Un millier de personnes se trouvaient là, parmi lesquelles on remarquait l’élite de la société et de la région. Le théâtre d’Acapulco était une construction en bois. Pendant un numéro de cinématographe, une explosion mit le feu aux décors et l’incendie, rapidement, gagna les frêles murailles de l’édifice. Bientôt le théâtre ne fut plus qu’une vaste fournaise d’où l’assistance terrifiée cherchait à s’évader par les trois seules issues de la salle. Le feu s’était en effet déclaré près des portes de sortie, rendant celles-ci inaccessibles, aussi les spectateurs durent-ils, pour s’échapper, se précipiter dans la direction même des flammes. Alors ce fut la ruée sauvage de gens affolés. Ce fut la terrible bataille qui signala naguère, chez nous, l’incendie du Bazar de la Charité et celui de l’Opéra-Comique…. Des femmes, des enfants renversés ou blessés, expirèrent écrasés. On évalue que, comme dans les catastrophes de ce genre, ces derniers constituent la majorité des victimes. Celles-ci ne sont pas moins de 300 … »
1908 : 20 janvier : Pose de la première Pierre du Kursaal, la salle des fêtes actuelle. Ce chantier gigantesque, d’une superficie de 2.000 m2, fut réalisé en 7 mois.
1908 : 19 juillet : le bâtiment fut livré à la Société des Bains, concessionnaire du Casino où l’on ne jouait plus depuis 1903.
1909 : Février : La salle des fêtes est complètement détruite par un incendie, 7 mois après son inauguration, il ne restait que les murs extérieurs,
1910 : La salle est reconstruite et transformée en salle de spectacles avec scène, telle que nous la connaissons actuellement.
1917 : nuit du lundi 5 au mardi 6 février : le feu prit au rez-de-chaussée et détruisit la salle de jeux, la salle de bal et le théâtre.
1929 : Fin des travaux de reconstruction, qui fut confié aux architectes spadois Marcel HANSEN et Marcel PAES
Extrait du Petit Journal : ‘ Cette épouvantable catastrophe, qui, rappelle celle du Bazar de la Charité, s’est produite en Hongrie, dans la commune d’Oekoerito. On avait utilisé pour en faire une salle de bal la remise aux voitures d’un hôtel, qui était entouré de planches. Dans cette remise se trouvaient encore des branches de pin provenant d’une fête précédente, et l’on y avait mis des lampions dans lesquels brûlaient des bougies. Au début du bal, on avait condamné au verrou, la seule porte qui donnât accès dans la salle, afin que personne ne pût entrer sans billet. La fête battait son plein, quand, une branche de pin s’enflamma. Le feu se propagea avec une grande rapidité et une panique effroyable se produisit. Tout le monde voulait se sauver, et prés de la porte il y eut une bousculade affreuse. Les gens se précipitaient les uns par-dessus les autres et se mettaient ainsi dans l’impossibilité de se sauver. Le feu ne cessait de se propager et la grange s’effondra bientôt. « Le théâtre de la catastrophe, disait un témoin, produit une impression terrifiante. Des cadavres calcinés sont entassés les uns sur les autres. On entend, des décombres, les cris de douleur que poussent ceux qui sont blessés et qui vivent encore. Une immense désolation règne dans tous les environs. » Sur les musiciens composant les deux orchestres, trois seulement ont pu se sauver. Beaucoup de personnes réussissaient, tout en brûlant, à gagner le dehors, mais ne tardaient pas à tomber. On a fait venir la troupe pour pouvoir ensevelir les morts dont le nombre, selon une information officielle est de quatre cents.’
1857 : Inauguration de la salle située dans le quartier populaire Saint-Roch, à Québec. La Salle Jacques-Cartier, partie des Halles Jacques-Cartier de Québec, située sur la rue Saint-Joseph. L’édifice fut l’œuvre de l’architecte Charles Baillargé.
1911 : 26 novembre : Un court-circuit provoque un incendie majeur.
1912 : Les ruines de la salle sont rasées
Mai 1911 : Le feu à la Foire de Nancy.
Destruction du « Palais des beaux-Arts », du « Théâtre Hollandais », et du « Panorama Levergeon »
1912 : Jeudi 19 décembre : Incendie
1884 : Création de la section de théâtre du Cercle catholique des jeunes gens de Dornach
1913 : 25 février 1913 : Incendie : . Le bâtiment est entièrement détruit.
1913 : 1er juin : Pose de la première pierre du nouvel édifice. 24 août, Inauguration du Foyer.
1914 : 27 août-6 septembre : Pillage et incendie de Louvain, chef-lieu de la province du Brabant flamand, en Belgique, par les Allemands au début de la Première Guerre mondiale. Le tiers de l’étendue bâtie de la cité fut détruit et 1 074 immeubles disparurent.
1890 : 31 mai : Inauguration du théâtre, après une construction qui dura 5 ans
1914 : 22 décembre : un incendie le réduit en cendres.
1919 : Réouverture, avec la représentation de l’opéra “Don Carlos” de Giuseppe Verdi
1873 : 3 mai : Inauguration du théâtre construit par l’architecte rémois, Alphonse Gosset.
1914 : Septembre : Les bombardements que subit la ville de Reims endommagent considérablement le théâtre dont le lustre et la coupole s’effondrent Fin de la guerre : Un incendie ajoute encore au délabrement de l’édifice et, à la fin de la guerre, seule subsiste la façade
1931 : La restauration, entreprise après la guerre s’achève, sous la direction des architectes Maille et Sollier , qui respectent l’œuvre d’Alphonse Gosset
1997 : le Grand Théâtre de Reims ferme ses portes pour des raisons de sécurité et de gros travaux de mise aux normes et de décoration sont entrepris. Les architectes Henri Dumont, Bertrand Nivelle et Guignard sont chargés des opérations.
Le raid sur Scarborough, Hartlepool et à Whitby, par la marine allemande, a eu lieu le 16 Décembre 1914. 1915… Théâtre de Scarborough après le bombardement.
CPA Guerre de 1914-1915 - Orphelinat Saint-Vincent-de-Paul - Salle de théâtre (extérieur)
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1898 : Décision de construire un nouveau théâtre par le conseil municipal.
1900 : 5 décembre : Pose de la première pierre
1902 : 18 octobre : Inauguration
1915 : Lundi 22 février : Suite à un court-circuit électrique un incendie se déclarait au théâtre d’Épernay. C’est le rideau de scène qui était l’œuvre du peintre décorateur Jambon, qui fut la proie des flammes.
1918 : Bombardement
1987 : 30 novembre : Le théâtre prend le nom de Gabrielle Dorziat. (pour célébrer le souvenir de la célèbre comédienne sparnacienne (1880 - 1979)). Notes : Le chroniqueur d’Épernay pendant la Grande Guerre, Louis Lepage, écrit à ce propos : " Parmi les évènements qui, durant cette période (1915-1916) sont à retenir, signalons encore l’incendie (tout fortuit) de la scène du Théâtre à la date du 22 février 1915".
Théâtre détruit et non reconstruit. La Grande Guerre a fait de Chauny un monceau de ruines ; le peu de vestiges que la cité, maintes fois dévastée au cours des siècles, avait gardés avant ce cataclysme a disparu entièrement ou presque.
Chauny – Le Théâtre, après la retraite allemande (avril 1917) Decelle, Compiègne
CHAUNY en ruines – Vestiges du Théâtre
Voir : 1909 : Belgique : Spa : La Salle des Fêtes
(début dans le rez-de-chaussée)
1769 : Construction du théâtre, œuvre de Barthélemy DIGNEFFE
1906 à 1907 : Transformation par l’architecte CHAMBON
1917 : nuit du lundi 5 au mardi 6 février : le feu prit au rez-de-chaussée et détruisit la salle de jeux, la salle de bal et le théâtre.
1929 : Fin des travaux de reconstruction, qui fut confié aux architectes spadois Marcel HANSEN et Marcel PAES
Le nouveau Petit théâtre actuel s’inspira de son aïeul
Notes : Le théâtre a été réalisé à l’italienne et présente une riche décoration stuquée
1908 : Inauguration du Théâtre Landa (Propriété privée)
1917 : Incendie
1671 : Installation d’une scène permanente.
1736 : Construction d’un nouveau théâtre dans l’enceinte du Capitole. (Architecte : Guillaume Cammas)
1737 : Inauguration du théâtre, à l'époque, il avait la réputation d’être le plus beau et le plus moderne du royaume.
1755 : Le théâtre est déclaré insalubre
1795 : Le théâtre fut rebaptisé Théâtre de la République
1800 : 11 juin : Fermée par ordre du préfet du 22 prairial an 8 (11 juin 1800) en raison des risques d’incendie, la salle du Capitole va devoir attendre de nombreuses années avant de voir rouvrir ses portes
Reconstruction du théâtre au même emplacement. Les architectes sont Cellerier et Gisors les décorateurs ; Joseph Roques, Julia et Wallaert.
1818 : 1er octobre : Inauguration (Les Jeux de l’amour et du hasard et Le Souper de Madelon).
1835 : Réaménagement complet du théâtre
1870, : Le Théâtre du Capitole est dans un très mauvais état.
1878 : 1er juin : Fermeture du théâtre (théâtre délabré, peur de l’incendie) Décision de le reconstruire
Début des travaux conduit par l’architecte Dieulafoy
1917 : Vendredi 10 août : le feu se déclare à 2h15 de l’après-midi, dans les combles du théâtre.
1923 : Réouverture du théâtre
1950 : 30 avril : Le théâtre du Capitole ferme ses portes pour des questions de sécurité. En effet, installation électrique est désuète et des travaux sont donc nécessaires.
1950 : 10 Novembre : Finalement inauguré, le théâtre est comparé à une vaste salle de cinéma.
1996 : La restauration a pour objet l’ennoblissement de la façade et le réaménagement des espaces publics et d’accueil.
1898 : Construction de Aréna de Montréal, amphithéâtre couvert, surtout destiné aux joutes sportives et spectacles hippiques, situé rue Sainte-Catherine ouest, à l'angle de l'avenue Wood. Cette structure d'acier, de bois, de zinc et de brique pouvait contenir 7000 personnes
1918 : 2 janvier : l'édifice fut entièrement détruit par le feu.
1903 : Plan et devis du Théâtre. l’architecte est Joseph Chérier de Saint-Quentin
1906 : 29 janvier : réception définitive des travaux.
1918 : Incendie : effondrement de la charpente et des couvertures
1922-1927: Travaux de gros oeuvre pour le remise en état du théâtre
1927 : Fin des travaux (réception définitive)
...
(Date à préciser) Le 26 mars 1918, Noyon est à nouveau prise par les forces allemandes (bataille de Noyon du 23 au 25 mars). Les violents combats à proximité (du Mont-Renaud du 26 au 30 avril) entraîneront sa destruction par bombardement par les Français eux-mêmes afin de limiter les capacités logistiques allemandes.
NOYON (Oise) – Place de l’Hôtel-de-Ville et Théâtre
Noyon après la guerre - Le théâtre, pris de la Place Cordouen
Noyon après la guerre. Façade du Théâtre
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Béthune (après la guerre) – Boulevard Kitchener et le Théâtre – Fauchois , éditeur
1778 à 1783 : Construction du théâtre sur les plans du sous ingénieur des ponts et chaussées de la province, E. Gauthey
1885 à 1886 : Entièrement réaménagé sur les plans de l’architecte A. Poinet
1919 : Destruction partielle de la scène par un incendie
1919 à 1921 : Réfection de la scène
1785 : 19 février : le projet de Bénard est approuvé par le conseil des Bâtiments du Roi
1785 – 1787 : Construction du théâtre
1786 : 14 juillet : Cérémonie de la pose de la première pierre du grand Théâtre de Marseille par Monsieur de La Tour, intendant de Provence.
1787 : 31 octobre : Inauguration du théâtre (Tartuffe de Molière)
1919 : Jeudi 13 novembre, un incendie détruit entièrement le Grand Théâtre de Marseille, à l’issue d’une répétition de « l’Africaine » de Meyerbeer. Seules les colonnes du péristyle et les murs maîtres ont été épargnés.
1920 : 16 novembre : la Municipalité adopte un programme de reconstruction. Les travaux commencés furent achevés en trois ans et demi .
1924 : Inauguration du nouvel Opéra Municipal. Du théâtre de 1787 ne subsiste aujourd’hui que la colonnade, le péristyle et les quatre gros murs extérieurs. C’est sur la façade principale que l’on ressent le plus le contraste réussi, entre la colonnade d’époque 1787, et le style des années 1920
1844 : Le théâtre municipal Jean Vilar, est conçu selon les plans de monsieur Guy, architecte à Caen, le théâtre est du type à l'italienne.
1854 : Le sculpteur Matagrin, taille les pierres de la façade.
1919 : Il est détruit pendant la guerre ( ?)
1921 : Le plafond fut décoré par le peintre Prévost et représente la Ville renaissante de ses cendres, après les destructions de la Première Guerre mondiale
St Quentin – Le Théâtre – Avril 1919 The Theatre - Bille. Photo-Editeur Fontenay-s-Boi
Saint-Quentin en ruines – Le Théâtre
La Grande Guerre – Cliché section photographique de l’armée. La place du Théâtre et le Théâtre
Voir : 1866, 1765 et 1919- France - Brest –Théâtre
1879 – 1880 : Construction du théâtre sur les plans de l’architecte Emile Bénard, le Théâtre Cirque était une grande salle de spectacle de 1300 places.
1886 : Aménagée en cirque Rancy , la salle fut finalement inaugurée le 29 mai 1887.
1907 : L’administration du théâtre cirque traite avec la société Omnia pour l’ exploitation des films Pathé Frères. La salle est transformée en cinéma.
1922 : Dimanche 19 février : Sur les coups des 2 heures du matin, un important incendie ravage le Cinéma (Théâtre Cirque. Il ne sera jamais reconstruit. Il est remplacé par le foyer pour jeunes gens, dit Union Chrétienne des Jeunes Gens (U.C.J.G.)
1937 : L’immeuble est augmenté d’un étage par l’architecte René Vallin
16 rue de Clichy 75009
1730, sous Louis XV, le duc de Richelieu se fait construire un lieu où il peut organiser des spectacles de son choix . Le quartier était à l’époque une vaste campagne plantée d’arbres.
1779, le baron d’Ogny achète l’endroit, qu’il rebaptise Folie-Richelieu. Elle est dirigée par Fortunée Hamelin, une jeune femme très en vue du tout Paris mondain sous le Premier Empire.
1811 : le Folie-Richelieu est transformée en parc d’attraction : Deuxième Tivoli, dirigé par Desrivières et animé par un artificier nommé Ruggiéri.
1851 : Folie-Richelieu est démoli pour y construire l’actuelle Église de la Sainte-Trinité de Paris. Le Baron Haussmann la fait démolir à son tour pour la reconstruire plus bas et la remplacer par un hall de loisirs qui va de la rue de Clichy à la rue Blanche avec entre autres une grande patinoire populaire dite « skating ».
1880 (vers) : Une partie de la patinoire devient le Palace Théâtre, construit par les architectes Aimé-Louis-Joseph Sauffroy et Ferdinand Grémailly ; il ouvre à l’origine sur la rue Blanche.
1891 : Il est transformé par l’architecte Edouard Niermans qui y crée une scène
1891 : Décembre : Monsieur Lué, administrateur du Casino de Paris, durant une fête costumée donnée dans l’établissement à l’occasion du Carnaval de Paris, lance mondialement l’usage du confetti en papier.
1905 : Une extension perpendiculaire à la salle, servant de café, est scindée pour devenir le théâtre de Paris
1917 : Réfection complète après l’incendie
1922 : La salle est dévastée par un incendie, puis entièrement reconstruite et modernisée
Le théâtre brûla entièrement dans un terrible incendie en 1923, lors d’une célébration anniversaire. Le feu se déclara sur scène et ensuite ravagea rapidement la salle principale et tout le théâtre.
Il fallait donc le reconstruire de zéro.
Le nouvel édifice vit le jour 6 ans plus tard, en 1929.
Le Kabukiza est le plus fameux théâtre de Kabuki à Tokyo. Il fut inauguré le 21 novembre 1889 dans le quartier de Ginza, et tout de suite considéré comme un lieu de référence en matière de Kabuki. Le bâtiment brûla entièrement dans un incendie en 1923, à peine reconstruit il fut anéanti par le terrible séisme de 1923, puis de nouveau mis à bas en 1945 par les bombardiers américains. La salle actuelle date donc de sa reconstruction en 1951