‘Une statistique assure que tous les théâtres sont destinés à périr par l'incendie dans une période moyenne de vingt-deux ans en Europe et de dix ans seulement en Amérique’ Le Petit Journal du 17 Janvier 1904
En savoir plus‘Les deux tiers environ brûlent en dehors de toute représentation, puisque cette constatation calmer nos craintes et contribuer à ne pas nous priver de notre plaisir favori’. Le Petit Journal du 17 Janvier 1904
En savoir plus‘Le feu, le pire ennemi des théâtres. Toutes les salles de spectacles semblent, tôt ou tard appartenir aux flemmes. Point d'années qu'il n'en brûle deux ou trois en Europe’. Louis Sébastien Mercier (1740–1814)
En savoir plus‘Dans l’espace d’un siècle, toutes les grandes villes : New-York, Richmond, Boston, Québec, Cincinnati, La Nouvelle-Orléans, Saint-Louis, Philadelphie, San-Francisco virent tour à tour, et souvent même à plusieurs reprises, brûler leurs salles de spectacles’. Le Petit Journal du 17 Janvier 1904
En savoir plus‘Néanmoins, il est bien certain qu’en ce qui concerne l’Amérique, les incendies de théâtres y sont très fréquents. Dans la même période, Londres compta quatorze incendies de théâtres, et Paris en eut quinze à déplorer’ Le Petit Journal du 17 Janvier 1904
En savoir plus‘C’est la Comédie-Française qui ouvrit la série en 1818 et qui la ferma en 1900. Dans l’intervalle, le feu détruisit l’Ambigu, les folies-Dramatiques, la Gaité, le Théâtre-Italien, le Vaudeville de la rue de Chartres, l’Opéra de la rue Le Peletier, et enfin, l’Opéra-Comique.’ Le Petit Journal du 17 Janvier 1904
En savoir plus‘Au reste, il n’est pas une grande cité qui n’ait eu à déplorer quelque calamité de ce genre. Qu’il nous suffise de rappeler les principales : Saint-Pétersbourg, en 1836, le théâtre de Canton, le théâtre de Québec ; le théâtre de Karlsruhe, celui de Livourne, le théâtre de Conway, le Brooklyn, ... ‘ Le Petit Journal du 17 Janvier 1904
En savoir plusLe feu de la cheminée, ce petit théâtre où les flammes gesticulent comme des acteurs affairés. Jules Renard
En savoir plusLe feu prit un jour dans les coulisses d'un théâtre. Le bouffon vint en avertir le public. On crut à un mot plaisant et l'on applaudit ; il répéta, les applaudissements redoublèrent. C'est ainsi, je pense, que le monde périra dans l’allégresse générale des gens spirituels persuadés qu’il s’agit d’une plaisanterie. Søren Kierkegaard
En savoir plus‘Après la fin du spectacle, les sapeurs-pompiers de garde effectuent leurs rondes obligatoires sans rien remarquer d’anormal. Pourtant vers minuit trente, un violent incendie éclate.’
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